PSYCHIATRY IN CRISIS?

Psychiatry is on the verge of a crisis. The promise of the psychopharmacological revolution has been stalled. Clinical diagnostic acumen is at risk of being displaced by checklists. The humanism of the psychotherapeutic encounter is being smothered by unidimensional paradigms.

The validity and effectiveness of psychiatric methods are again being challenged because of frequent unsatisfactory patient experiences.The relentless influence of the pharmaceutical industry on the practice of psychiatry is fostering mistrust and skepticism. The objectivity of practitioners has been eroded by intense promotion of “look alike” new drugs, drug detailing in primary care, direct to consumer advertising, and funding of organizations and individual psychiatrists. The over promotion of highly potent medications for unproven indications has resulted in unnecessary adverse effects and physical morbidity.

Publication bias and conflict of interest have infiltrated journal articles and even clinical guidelines. It is not enough for authors to disclose a long list of pharmaceutical manufacturers from whom they may have received funding. A measure of potential bias needs to be calculated as part of the peer review process.

More research and critical reviews need to be undertaken by those who do not have any financial realtionships with industry.

It is vitally important that the profession of psychiatry reestablish its independence and integrity.
 
For these reasons the Group for the Reform of Psychiatry was established in October of 2015.
 
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PSYCHIATRIE EN CRISE

La psychiatrie est sur le bord d’une crise. La promesse de la révolution en psychopharmacologie a été bloqué. Un sens aigu de diagnostic clinique est à risque d’être déplacé par des listes de contrôle. L’humanisme de la rencontre psychothérapeutique est étouffé par des paradigmes unidimensionnels.
La validité et l’efficacité des méthodes psychiatriques sont à nouveau remis en question à cause de patients insatisfaisante fréquente d’expériences sont influence implacable de l’industrie pharmaceutique sur la pratique de la psychiatrie est de favoriser la méfiance et le scepticisme. L’objectivité de praticiens a été érodée par la promotion intense de “ressemblance” de nouveaux médicaments, drogues détaillant dans les soins primaires, la publicité directe auprès des consommateurs, et le financement des organisations et des psychiatres individuels. La promotion de plus de médicaments très puissants pour des indications non prouvées a entraîné des effets défavorables inutiles et morbidité physique.
Publication biais et des conflits d’intérêt ont infiltré des articles de journaux et même des lignes directrices cliniques. Il ne suffit pas pour les auteurs de divulguer une longue liste de fabricants de produits pharmaceutiques dont ils ont peut-être reçu un financement. Une mesure de biais potentiel doit être calculé dans le cadre du processus d’examen par les pairs.
Davantage de recherche et de commentaires critiques doivent être entrepris par ceux qui ne possède pas de realtionships financiers avec l’industrie.
Il est extrêmement important que la profession de la psychiatrie rétablir son indépendance et son intégrité.
 
Pour ces raisons, le Groupe pour la réforme de la psychiatrie a été créée en Octobre 2015.
 
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